un responsable de l’Ifri indexe Kemi Seba et Nathalie Yamb La présence militaire française au Sahel est très contestée. Après le départ de Barkhane du Mali, c’est au tour des soldats de la Force Sabre de quitter le Burkina Faso. Au Niger aussi, les syndicats s’opposent à la présence militaire de l’hexagone dans leur pays. Dans une interview accordée à France Info, Alain Antil, chercheur et directeur du centre Afrique subsaharienne de l’Institut français des relations internationales (Ifri), explique le rôle joué par la Russie dans cette contestation de la présence militaire française au Sahel. « Des militants ont été rémunérés pour diffuser de fausses informations » Selon M Antil, la Russie a financé des militants pour diffuser de fausses informations sur la France afin d’abîmer son image dans ces pays. « La Russie a contribué au combat sur les réseaux sociaux contre la présence française…Des militants ont été rémunérés pour diffuser de fausses informations, ou reprendre des éléments de médias russes francophones et les diffuser. Cet activisme des réseaux sociaux a contribué à accélérer la dégradation de l’image de la France » a déclaré le chercheur. Il évoque aussi le rôle joué par Kemi Seba et Nathalie Yamb. « Kemi Seba a déclaré qu’il avait rencontré le PDG de la société mère de Wagner » Selon lui, ces militants influenceurs ne cachent pas leur proximité avec la Russie. Nathalie Yamb a par exemple appelé « des dirigeants ouest-africains à se rapprocher de Moscou « . Kemi Seba a déclaré qu’il avait rencontré le PDG de la société mère de Wagner, Evguéni Prigojine, et reçu un « appui logistique » de ce groupe… », affirme M Antil. Inutile de rappeler que la France et les pays occidentaux accusent le groupe Wagner de commettre des exactions dans les pays comme la Centrafrique et le Mali. A Bamako, on dément tout lien avec le groupe paramilitaire russe.
Pris par le démon de midi, le chauffeur D. Diop a jeté son dévolu sur une mineure de 16 ans. Mais devant le refus de l’adolescente de céder à ses avances, ce chauffeur âgé d’une quarantaine d’années l’a violée. Il a été arrêté par les policiers du poste de Diamaguène 2 de Mbour. Détails !
Marié à deux épouses, le chauffeur D. Diop, domicilié au quartier Oncad de Mbour, s’est embourbé dans une rocambolesque histoire de mœurs. L’homme âgé d’une quarantaine d’années courtisait R. S., une jeune fille de 16 ans qui ne cessait de repousser ses avances.
N’en pouvant plus, le mis en cause a surpris l’adolescente dans sa chambre, au moment où elle venait de prendre sa douche. D. Diop a profité de l’absence des occupants de cette concession pour satisfaire sa libido sur la domestique.
« Il a arraché ma serviette avant de me forcer à coucher avec lui dans ma chambre », a confié la victime aux enquêteurs.
Ne pouvant pas supporter cette agression sexuelle, la jeune fille a fini par dénoncer le polygame incriminé. Une plainte a été déposée sur la table du chef de service du poste de police de Diamaguène 2. Les hommes du lieutenant Moussa Faye ont réquisitionné les services d’un gynécologue pour examen.
Dans sa déposition, la plaignante a déroulé le film de son agression sexuelle. Également, la plaignante a avoué aux policiers qu’elle avait couché à deux reprises avec son petit ami maçon. Ce dernier a été convoqué, mais il n’a pas fait signe de vie.
Le certificat médical atteste une perte de virginité
Le rapport médical parvenu aux limiers atteste que l’adolescente R. S. a entretenu récemment un rapport sexuel, mais elle avait déjà perdu sa virginité.
Les aveux de D. Diop
Arrêté et mis devant le fait accompli, l’indélicat polygame a reconnu les faits, lors de son interrogatoire. Il a été placé en garde à vue pour viol sur une mineure de 16 ans.
Déféré au tribunal de grande instance de Mbour depuis la semaine dernière, D. Diop a été placé sous mandat de dépôt, d’après des sources de Seneweb proches du parquet.
