FINANCEMENT CLIMAT : Certains africains disent non à la victimisation

Des financements accessibles pour face aux changements oui ! Mais le fait de se victimiser pour bénéficier de ces fonds certains pays africains disent niet.

Présents, ce matin au Side évents  de la BAD  sur le thème : Climat, sécurité et changement climatique, des participants ont suggèrent aux panélistes que l’obtention des financements soient basés sur les critères de priorisations. Notamment, le financement des acteurs du monde rural, les projets de femmes et les projets d’atténuations. D’autres ont mis l’accent sur les moyens le préserver les ressources en eau, en favorisant les recherches.

Le point commun de tous les intervenants est que le financement en Afrique est une obligation et non un don des pays riches.

En guise de réponse, le représentant de la BAD, dira qu’il comprend la préoccupation des uns et des autres. Cependant, il a tenu à préciser que son structure est confrontée à beaucoup de problèmes pour les financements de certains pays. « Les conflits en Afrique posent un énorme problème à notre système de financement ». Pour régler ce problème, il invite la société civile africaine à se rapprocher à leurs gouvernements respectifs pour gérer ou mettre un terme aux conflits en Afrique.

Paule Kadja TRAORE (Sham el Seikh)

 

 

 

Previous post COP27 : Manque d’eau, accessibilité… Les difficultés s’accumulent à la conférence annuelle de l’ONU
Next post La Grande Muraille Verte: La réponse africaine à la lutte contre la désertification et le réchauffement climatique