MARYAM SALA BAO: Mannequin aux multiples facettes

Née à Dakar, au Sénégal, le 5 janvier 2004, Maryam-Sala Bao atterrit sur les hauteurs enneigées du Mont Kilimandjaro en juillet de la même année, avec sa sœur, toutes deux éberluées et agrippées à la jupe de maman, Fonctionnaire internationale.
Elle fait ses premiers pas à la Braeburn International School d’Arusha, en Tanzanie, en pays massai ;Très tôt, elle s’essaie au piano, à la flûte et au tennis.
En juillet 2009, il faut déjà repartir, vers de nouveaux horizons à la découverte d’une autre culture ; elles débarquent (Maman et sœur) à Djeddah, en Arabie Saoudite, vaste désert aux antipodes de la verdoyante Tanzanie et de sa faune extravagante.
Elle y fait ses humanités à la British International School of Jeddah, s’initie à la langue arabe, intègre l’équipe de football, la chorale, raffermit sa vocation pour le piano, s’adonne au chant lyrique, jazzy et liturgique ; mieux, la théorie musicale n’a plus de secrets pour elle. Ses week-ends sont mélodieusement
musicaux, avec des professeurs qui ont su réveiller ces talents qui sommeillaient en elle. Elle compose, joue et chante…
A l’âge de 15 ans, elle monte sur les planches et magnifie la beauté ; elle devient l’égérie de grandes
marques saoudiennes, celle que l’on s’arrache, la première africaine qui éveille toutes les curiosités, si
jeune.
A 17 ans, elle obtient son baccalauréat international option études musicales. Altruiste, elle étudie
aujourd’hui la psychologie à la prestigieuse université de Concordia, à Montréal.
Elle dessine et peint ses émotions. Elle est l’auteure d’un recueil de poèmes, quelle ne souhaite pas publier pour le moment.
Une vie, des passions…

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Previous post IVG : «des filles d’hommes politiques et de religieux» avortent pour 150 000 à 250 000
Next post Recrutement dans les mairies: Les mises en garde de Macky Sall