« TOUTE CONNAISSANCE EST SOUVENANCE. »
Selon Thomas HOBBES.
En effet les principes de jonction de connaissance empirique des sciences inspirées de la »Sophia » antique, amplifient des nouvelles tendances minutieusement connectées.
Bien que l’intelligence humaine décline des artifices fascinants dans l’intelligible platonicien, mais reliant le » Cogito de l’ergo sum » des esprits cartésiens.
Absorbant les principes sacro-saints du » cosmos » aucun soupçon de Nietzsche n’a été détecté dans l’inaccessible.
Le genre humain cogite dans
une dynamique cartésienne, dans une démarche aristocratique, mais associant socratiquement des pratiques de la théorie ainsi que des théories de la pratique.
En principe, Il n’y a pas de limites dans l’intelligence humaine qui est méticuleusement un dominium de celle de l’artificielle.
» L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE NE FAIT PAS LE POIDS FACE À LA STUPIDITÉ NATURELLE »
Albert EINSTEIN.
Déjà artificiel relève de la création artistique de l’homme, du peu de naturel et de l’invention d’un être disqualifié de perfection.
Comment une œuvre d’un être de nature imparfait peut faire l’objet d’une perfection réfléchie ?
Par conséquent, il semble être préférable de décommenter une telle mission impossible.
C’est-à-dire : la mission humaine n’est jamais accomplie même avec l’harmonisation du temps et d’espace.
L’homme de néant n’est ni omniscient ni omnipotent, ni omniprésent, mais un type multidimensionnel, disposant d’un coefficient pluridisciplinaire, de pensée plurielle et de sagesse incommensurable.
En perspective, » l’homme est la mesure de toute chose » de Protagoras est sans nul doute une profonde réflexion.
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