« Abdourahmane Diouf : De démocratie de concordance à l’insolence déconcertante » (Abdoulaye Diagne)

Depuis quelque temps, le nommé Abdourahmane Diouf, plus connu pour son verbe hautain que pour son impact politique, se distingue par ses attaques malfaisantes, fielleuses et infondées sur la Président Macky Sall.

omme toute cette camarilla d’une certaine opposition, pour ne pas dire comme toute cette peuplade de politiciens en quête de reconnaissance, à l’allure d’un « Awalé » morné et amorti par un leadership incapable de sortir la tête de l’eau, Abdourahmane Diouf se donne coeur et âme dans un exercice malsain de diabolisation du Président Macky Sall.

Tout son verbiage haineux tourne autour de la candidature du Président Macky SALL en 2024. Monsieur Diouf, mais que sait-il faire ? Monsieur « démocratie de concordance » défendue dans un livre fantôme « sans notes de bas de pages », a pourtant voulu, malhonnêtement, vendre aux Sénégalais un système électoral que lui-même aurait inventé. Quelle tricherie pour un Docteur de sa triste et honteuse trempe ! Même le plus inculte des acteurs politiques sait que ce modèle, dit en d’autres termes « système de concordance » ou « démocratie de concordance ou de proportion », dont il se vente lamentablement d’avoir mûri et inventé, est déjà expérimenté dans d’autres pays, depuis des années, comme la Suisse par exemple.

Un homme capable de copier-coller une pensée, un modèle, comment peut-il promettre des étoiles à un peuple qui a les pieds sur terre ? Le Sénégal est au temps du concret, de l’émergence et du développement endogène. Avec le Président Macky Sall, avec un beau et reluisant bilan, à l’image des grandes réalisations touchant tous les secteurs, le Sénégal a emprunté d’une manière irréversible les voies de l’émergence à l’horizon 2035. La vision est claire et les voies empruntées pour y arriver sont bien balisées par un programme qui ne souffre d’aucune ambiguïté. La politique, c’est le courage des grandes œuvres pour oser engager le futur. Le Président Macky Sall le sait bien et nous lui soutenons parce que cela y va de l’intérêt supérieur de la Nation et des générations futures.

Il faut être honnête et respectueux de nos institutions si l’on a les prétentions de briguer la présidence de la République. Nous sommes un pays respectueux de son organisation administrative. Chacun joue son rôle et nul ne peut être plus royaliste que le roi. Le Conseil constitutionnel et ses sept Sages n’ont pas de leçon à recevoir de vous, ni d’un autre acteur politique, qui fut-il.

La démocratie sénégalaise ne souffrira d’aucune souillure et chaque acteur jouera pleinement son rôle pour qu’elle triomphe encore dans le respect des règles de jeux clairement définies par notre Constitution qui donne encore au Président Macky Sall, s’il le désire, le droit de demander une autre candidature en 2024. Monsieur Diouf, rassurez-vous, notre candidat c’est bien le Président Macky Sall et nous allons lui donner un second quinquennat.

Tu dis qu’il faut faire face à Macky Sall pour l’empêcher de déposer sa candidature en décembre 2023 ? Qu’il soit clair, contre votre haine à la limite maladive, contre vos diatribes plus que éhontées, contre votre venin de coalisés, contre vos souillures politiques, nous ferons face. Ce pays ne tombera pas et votre entreprise de destruction, de diabolisation, votre appel au chaos, ne passeront pas, car nous nous lèverons, nous nous mettrons debouts et nous nous dresserons contre vent et marré pour ce pays.

Par Abdoulaye Diagne

Deputé et Coordinateur du MEER NATIONAL

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