Les gens qui quittent leurs pays pour migrer vers d’autres seuils, ne sont pas toujours, des personnes à la quête de richesse. Certains d’entre eux, ont été obligé de laisser leurs biens financiers et matériels pour assurer leur survie, car vivant dans des zones en conflits, par conséquents instable. Cette outre réalité des migrants, nous ai raconté par Rita Sanchez, une des assistantes sociale de l’Ong Caristas Espagne. Selon elle, la majorité des personnes que  son structure accueille au niveau de son centre viennent des pays d’Europe de l’Est. Généralement, explique l’assistante sociale, lescauses des migrations peuvent être très diverses : guerres, motivations économiques, environnementales, de travail ou familiales… Elles sont majoritairement le fait de populations jeunes (18-30 ans) et ont la plupart du temps pour destination des pays géographiquement proches du lieu de départ. Aussi, pour facilité leur intégration dans le pays hôte, il est impératif de changer le discours négatif sur les migrations qui alimente les attitudes d’hostilité vis-à-vis des migrants, maximiser le développement potentiel dû aux migrations, en assurant un développement humain intégral aux migrants dans leur pays de destination et enfin, accroître les opportunités des migrants afin qu’ils contribuent aux progrès dans leur pays d’origine, ce qui favorisera un «cercle vertueux entre les migrations et le développement», comme le  le recommandation de Caritas Europe. En effet, pour Caritas, les migrations ont et auront toujours cours et qu’ils restent chez eux ou qu’ils s’installent dans un nouveau pays, ce qui finalement compte, c’est que «dans tous les lieux qu’ils désignent comme étant leur maison», les hommes aient «le droit» de trouver les conditions économiques, politiques, environnementales et sociales pour  pouvoir «vivre dignement et accomplir leur vie».

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