Il est quasiment impossible, de lire les journaux quotidiens ou de naviguer dans les réseaux sociaux sans tombés sur un article qui traite de cas de violences entre élèves, de mort d’adolescents souvent du à l’utilisation abusive de d’alcool ou de drogue, de mœurs et de prostitution dans les établissements scolaire, notamment dans les collègues et lycées. Si le phénomène est perçu par les éducateurs, comme la démission des parents, en l’occurrence, le manque d’éducation de base, d’autres, estiment que les responsables des établissements scolaires doivent veiller à la sécurité des élèves. Ce, interdisant la vente de produits illicites qui s’opèrent aux alentours de leur structure. Une résolution refoulée par Mactar Diop, le proviseur d’un lycée de Mbour. Selon lui, les écoles publiques n’ont pas les moyens de mener des activités de surveillance en dehors de leurs établissements. « La drogue et l’alcool ne se vend pas au niveau des écoles, les apprenantes qui se prostituent aussi le font hors de l’espace scolaires. Par conséquent, il nous est difficile de gérer cette situation déplorable ». Cependant, il avoue que cette nouvelle pratique des jeunes qui se fait ressentir sur leur niveau scolaire. «Les élèves sont de moins en moins performants, car, l’utilisation d’alcool et de drogue détruit leur cerveau. » clame M. Diop. En guise de solution, il invite parents et enseignants à s’acquitter convenablement de rôle d’éducateurs.
Abenatv